À propos

Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours été captivée par la puissance des sens humains. Avoir la chance de voir clairement et en couleur, sentir une infinie pluralité d’odeurs, pouvoir entendre aussi bien un bruit d’animal qu’une musique etc.

Ainsi, lorsqu’on nous a annoncé qu’il fallait choisir un sujet pour le projet de troisième année, j’ai songé à la possibilité d’intégrer un de ces sens dans mon travail.

Il s’avère que celui auquel je suis le plus sensible est l’odorat, qui est incroyablement bien détaillé à travers Le Parfum : Histoire d’un meurtrier, un livre de Patrick Süskind. Cette œuvre littéraire nous apprend littéralement à respirer et à analyser les odeurs, tout en nous présentant la diversité des ingrédients contenue dans les flacons odoriférants.

Il s’agissait donc dans un premier temps de traiter des odeurs. De là, il m’était facile de faire un lien avec le parfum, dont les publicités envahissent le commerce. Elles peuvent apparaître dans la rue, mais aussi et essentiellement sur des supports numériques, tels que les téléphones, les ordinateurs ou encore la télévision. Autrement dit, les maisons de parfums investissent énormément dans le multimédia.

Enfin, afin de spécifier mes recherches, j’ai souhaité me concentrer sur la publicité des parfums de luxe et uniquement sur les parfums pour femme.

Comment interagissent les campagnes publicitaires ? Reprennent-elles les mêmes codes visuels ? Comment peuvent-elles innover aujourd’hui ?